Auxiliaires: contractions

De MultiGram

D’une façon générale, l’anglais écrit ne recourt pas souvent aux contractions, qui rendent une caractéristique de l’anglais parlé, c-à-d. la réduction, voire la disparition de la voyelle des syllabes non accentuées. Leur emploi se justifie lorsque l’écrivain cherche à donner un ton familier à son texte. Certaines contractions, cependant, peuvent subsister dans le texte écrit sans nuire au ton.

La forme : devient : Exemple :
am ’m I’m fine, thank you.
is ’s It’s all right. [1] [2]
are ’re you’re my friend.
have ’ve we’ve seen the sights.
has ’s it’s been sold. [2]
had ’d you’d better stop.
let us let’s let’s go now ! [3]
not n’t you mustn’t forget [4][5]
shall ’ll I’ll be there.
shall not shan’t we shan’t come this time.
who is who’s who’s who ? [6]
will ‘ll you’ll have to buy another one.
will not won’t it won’t work.
would ’d I’d rather ...
  1. Il convient de ne pas confondre it’s (= it is) et l’adjectif possessif its.
  2. 2,0 et 2,1 En vertu des règles de prononciation, it’s se prononce avec le son [s], he’s ou she’s (= he/she is/has) avec une terminaison [z].
  3. Let us ne peut être réduit à let’s que s’il s’agit d’un auxiliaire de l’impératif
  4. Même rattaché à l’opérateur, n’t peut être la négation, non pas de l’auxiliaire, mais du verbe principal : You mustn’t forget : he mightn’t expect your visit ! Tu dois te rappeler (tu dois ne pas oublier): il se pourrait qu’il ne s’attende pas à ta visite !
  5. Mayn’t n’existe pas. Ain’t pour am not, are not ou is not est généralement rejeté comme vulgaire. La contraction du négatif-interrogatif Am I not ? est Aren’t I ?
  6. Il convient de ne pas confondre who’s (= who is) et whose, le génitif de l’interrogatif ou relatif who.